Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.



 
AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  Connexion  
-40%
Le deal à ne pas rater :
-40% sur le Pack Gaming Mario PDP Manette filaire + Casque filaire ...
29.99 € 49.99 €
Voir le deal

Partagez
 

 Toujours à la pointe de l'élégance Alice? [PV]

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage

Stanislas L. Hoower
Stanislas L. Hoower

Masculin
Nombre de messages : 365
Age : 34
Date d'inscription : 18/01/2009

•• Are You Alive ?
•• Mode de Nutrition: Au temps jadis, Stanislas se sustentait de mets humains. Depuis qu'il est un vampire, le sang animalier est sa seule et unique nourriture.
•• Lien & Désir:
•• Dons , pouvoirs:

Toujours à la pointe de l'élégance Alice? [PV] Empty
MessageSujet: Toujours à la pointe de l'élégance Alice? [PV]   Toujours à la pointe de l'élégance Alice? [PV] EmptyMar 20 Jan - 20:08

Toujours à la pointe de l'élégance Alice? [PV] Iconga10 Toujours à la pointe de l'élégance Alice? [PV] 511
Stanislas & Alice



    Il lisait. Il lisait depuis des heures. Toute la nuit. L’ouvrage, il l’avait lu, relu de nombreuses fois, sans pour autant trouver cela déplacé. Les meilleurs livres sont ceux que l’on relit à l’infini. Il termina son chapitre, et ferma d’un coup sec le livre. Un filet de poussière s’envola dans la pièce exigüe. Le jour venait de se lever, bien que les nuages étaient omniprésents et cachaient la présence de l’astre solaire. Se levant du fauteuil Louis XV – bleu nuit – il se dirigea vers son armoire en chêne brut. Il l’ouvrit dans un grincement sonore et demeura devant – raide comme un piquet – pendant de longues minutes. Il scrutait chacune de ses tenues avec minutie afin de choisir celle la plus appropriée pour sortir. Il jeta son dévolu sur un costume bleu nuit, en que de pie. En moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, il était près à sortir. Il se saisit de son parapluie. Cela donnait tellement plus de cachet. Il prit un calepin et un crayon gris qu’il fourra dans sa poche et sortit. Il ferma la porte de sa chambre d’hôtel à double tour et descendit les escaliers. Ces derniers habillés d’un velours rouge et encadrés de statues d’Apollon. Il descendit avec prestance. Un maître d’hôtel le reluqua. Est-ce de la jalousie ? Quelle bassesse. Il fit mine de rien. Et continua son chemin. Dans le hall d’entrée, une hôtesse l’apostropha : « Monsieur Hoower, désirez-vous que je vous serve le petit déjeuner ? » Le vampire se tourna vers cette dernière. Elle était vraiment ravissante. La vingtaine, une chevelure blond vénitien tirant sur le roux et un visage parsemé de tâches de rousseur. Il lui fit un sourire et plongea son regard or dans les siens en répondant d’une voix chantante : « Non merci ! Quelle délicate attention, mais j’ai à faire en ville. Sur ce, je vous souhaite une agréable journée ! » Elle répondit à ses paroles par un sourire niais, enfantin et conclut : « Bien Monsieur. » Et, elle s’échappa en catimini vers la salle du petit déjeuner.

    Il se retrouva dehors. Une bruine légère sévissait aujourd’hui, mais il y avait nettement plus de monde que la veille ou l’avant-veille dans la rue. C’était une journée d’affluence. Avec beaucoup de style, il déambulait au milieu de la foule. Des yeux se posèrent sur lui l’air de dire : « Qui c’est ce mec, il a remonté le temps dans une Doloréane ou quoi ? » Il resta impassible à ses regards peu discrets. Il bifurqua à gauche, puis droite, puis à nouveau à droite et tomba sur une boutique de prêt à porter. Il lorgna la vitrine, les magnifiques costume, dont un, blanc comme neige, qui attira son attention. Sans attendre une minute de plus, il pénétra à l’intérieur de cette boutique. Il faisait nettement plus chaud que dehors et le décor était chatoyant, se voulant ensoleillé, dans cette contrée ou le soleil faisait défaut. Il y avait du mouvement, beaucoup de jeunes demoiselles et de jeunes damoiseaux déambulaient dans les rayons en quête de l’oiseau rare, de la tenue parfaite. Certains parlaient d’un bal, d’autres d’un repas galant, en amoureux. Pourquoi fallait-il une occasion particulière pour s’habiller avec classe ? Stanislas prenait du plaisir à se vêtir de la sorte. Se mouvant vers la première vendeuse – une petite femme aux cheveux grisonnant – il lui demanda d’une voix douce, hypnotique : « Puis-je essayer le costume présenté en vitrine ? » Il lui désigna. Les yeux de la vendeuse s’illuminèrent, comme dans les dessins animés où les pupilles se transforment en dollars ou livres sterling. C’était la femme vénale par excellence, corrompue par l’argent. Elle revint à lui avec le fameux ensemble. Elle lui fit un sourire idiot et ajouta : « Les cabines d’essayage sont par là-bas jeune homme ! » Il amorça un pas vers les dites cabines mais la vieille harpie déclara : « Si vous avez besoin d’une quelconque aide, n’hésitez pas à me faire signe ! » Elle pouvait être agaçante. Il leva les yeux au ciel. Elle était vraiment tombée amoureuse de son portefeuille.

    Arrivé aux dites cabines, il prit celle qui était déserte. Il accrocha le costume lactescent à un cintre prévu à cet effet. Puis prestement, il se dévêtit de tout son attirail et commença à enfiler le somptueux costume. D’abord la chemise qu’il boutonna avec délicatesse, puis le pantalon qu’il enfila avec finesse, puis la veste et il termina par de ravissants mocassin d’un blanc nacré. Il boutonna sa chemise au niveau de ses poignés. Il lui manquait les boutons de manchettes, cependant il en avait chez lui. Il se saisit de la cravate rouge vif et la fixa autour de son coup en faisant un nœud de cravate parfait. Il se jaugea. Il n’avait l’air pas mal. Une glace. Il avait besoin d’une glace. Il tira les rideaux, balaya les alentours jusqu’à trouver une glace pour s’observer. Il marcha vers cette dernière qui était à deux pas de sa cabine. Il s’avança vers elle comme s’il survoler le parquet de quelques millimètres. Et il se posta devant. Il se toisa de bas en haut, puis de haut en bas. Il épousseta sa manche droite où un fil rouge était venu se loger. Il ajusta parfaitement sa cravate, qui semblait un tantinet de travers. Et comme par hasard, à peine était-il affublé, que la vendeuse revint à la charge : « Ce costume vous va à ravir ! » Mais, il ne fit pas attention à cette dernière. Elle avait beau lui faire un discours élogieux sur son apparence magnifique, il ne remarqua qu’une chose. Là-bas dans le fond du magasin, il vit une connaissance. Cela faisait un bon moment qu’il ne l’avait pas vu. Mais elle n’avait pas changé. Alice. Elle était dans le même magasin que Stanislas. Quelle coïncidence. Il l’observa avec minutie. Leurs yeux se croisèrent et un sourire apparut sur le visage de Stanislas. Il était content de la voir.

Revenir en haut Aller en bas
    Admine - Vampirette Cullen.† «The sun in Hell.»

B. Alice Cullen
B. Alice Cullen

Féminin
Nombre de messages : 395
Age : 31
Emploi/loisirs : Chasser, occuper mes nuits, faire du shooping, faire en sorte de mériter Jasper jour après jour.
Humeur : Guillerette ♥
Date d'inscription : 25/12/2008

•• Are You Alive ?
•• Mode de Nutrition: Se nourrit uniquement de sang animal ...
•• Lien & Désir:
•• Dons , pouvoirs: Je peux voir ... Des choses qui vont se passer. C'est assez flou, et peu fiable, cependant.

Toujours à la pointe de l'élégance Alice? [PV] Empty
MessageSujet: Re: Toujours à la pointe de l'élégance Alice? [PV]   Toujours à la pointe de l'élégance Alice? [PV] EmptyDim 25 Jan - 0:16

    Bella Swan. Jamais le nom d'une simple humaine n'avait été prononcé autant de fois dans toute la confrérie des Cullens. Depuis l'arrivée de la jeune fille du Sherif, tout le monde n'était acaparé que par cet évenement qui était pourtant anaudin si on regardait de plus près. Pour les Cullens, c'était une toute autre histoire. Elle avait complètement changé Edward, lui qui était si prevenant, si solitaire ... A présent, il enfregnait toutes les règles que lui imposait le statut de vampire, sans compter qu'il rester toujours avec Bella, au risque de la tuer. Tomber amoureux de celle que l'on pourrait tuer, il n'y a rien de plus compliqué. Malgré cela, Alice était une des seules dans la famille à soutenir complètement Edward dans sa 'relation' avec Bella. Esmée était de ce coté, aussi. Mais la jeune vampirette trouvait cette relation saine tant qu'il savait se contrôler, et ça, elle savait qu'il en était capable. De toute façon, elle avait toujours ses visions pour être prévenante. Peut-être un petit peu trop optimiste, Alice Cullen. Elle n'avait rien fait de spécial cette nuit. Elle s'était surtout occupée avec ses visions. Elle était une adepte de la devise "Vaut mieux prevenir que guerrir", malgré sa totale confiance en son frère. Elle se sentirait beaucoup trop coupable de ne pas avoir pu prévoir un de ses gestes à temps. Une culpabilité à porter durant l'eternité, c'était cher payé pour une erreur de vision. C'est pourquoi elle se devait de rester vigilante. Elle trouvait que les loups-garous du coin trainaient un peu trop vers la nouvelle. Il manquerait plus qu'ils s'y mettent eux aussi. A croire que tous les êtres surnaturelles voyaient Isabella Swan comme le nouveau joujou qu'on leur apportait sur un plateau d'argent. C'était assez décevant de voir que les relations entre les vampires et les Lycanthropes n'avaient pas changé, d'ailleurs. Non qu'Alice les concerne comme ses meilleur(e)s ami(e)s, mais elle ne supporte pas l'idée d'avoir des relations négatives, elle a toujours été comme ça.

    Le soleil arrivait petit à petit, une journée de plus à vivre. Combien de journée avant la fin du monde ? Puisque c'était la longueur d'existence de la jeune femme, à moins qu'un traqueur sadique se mette en tête de la couper en morceaux avant de la brûler, ce qui serait assez étonnant, vue la famille protectrice que bénéficie la vampirette. Les Volturis seraient beaucoup plus puissant, eux. Mais jusque là, ils n'avaient pas eu de problèmes mortels avec ces derniers, et la famille Cullen ne tenait pas vraiment à en avoir. Eux, ils restaient tranquillement dans leur coin, simplement à vivre avec leur nature, chose qu'ils n'avaient pas choisit, mais qu'ils enduraient depuis une centaine d'année et qu'ils endureraient toujours au long de leur existence. Il n'y avait rien à faire, après tout. Les Cullens avaient simplement fait leur maximun pour alléger leur culpabilité : se nourrir exclussivement de sang animal. Condition qu'Alice n'avait pas eu trop de mal à supporter jusque là. Dorénavant, le soleil s'était levé. Trop présent sûrement pour aller en cours. Elle ne savait pas comment se deroulerait la journée, mais le soleil se montrait apparement au grand jour. Elle ne prit donc pas le risque de se présenter dans son établissement. Elle ne pourrait pas partir à une certaine heure si les rayons de soleil étaient trop puissants. Elle ne s'apellait pas Edward Cullen, elle n'aimait pas vraiment sécher les cours, même si elle n'avait pas besoin de cours particuliers. Elle ne comptait même plus combien de fois elle avait répéter ce niveau, au lycée. Une une vingtaine de fois peut-être bien. Mais comme disait Carlisle, son 'père'peut-on dire, plus on arrive tôt dans une ville, plus on peut rester plus longtemps. Cela ne plaisait pas tant que ça à la jolie brune de changer sans cesse de lieu. Elle ne se considerait pas comme une nomade, loin de là. Après tout, ils étaient loin d'être des vampires de base. Ils n'avaient aucun points communs avec les autres, à part le mode alimentaire, et encore.

    Ne sachant comment s'occuper, elle décida de partir seule dans la forêt, laissant sa famille à la maison. Elle ne les prevenait jamais de vive voix, leur ouie était assez developpée pour l'entendre à 20 kilomètres. Elle s'habilla comme toujours de manière distinguée, mélange d'ancien et moderne qui s'harmonisait très bien. Sous ses doigts de fée, de lutin peut-on dire dans ce cas là, tous les vêtements s'accordaient à merveille et prenaient des allures de classe. C'était un de ses dons, elle avait toujours été une femme, une vampire, qui aimait le shooping et qui vénerait le monde de la mode. Elle partit par la suite chasser dans les envrions, elle n'avait pas envie de perdre du temps avec ça. Elle s'arréta net lorsqu'elle sentit la douce odeur du gibier lui venir. Une biche, parfait, c'était le sang qu'elle appréciait le plus. Doux, sucré. Elle suivit le cheminement avant de faire l'eternelle méthode : traquer, poursuivre, tuer, boire. Pas une goûtte sur ses vêtements, elle avait prit l'habitude depuis cent ans de chasse. Passant un doigt sur ses lèvres pour faire disparaitre toute trace de sang, elle décida qu'une biche serait suffisant. Elle chasserait cette soirée. Elle était lasse. L'heure était parfait pour les humains, elle savait qu'ils sortiraient tous en masse à cette heure-là. Elle était devenue une vraie experte à force de les espioner, de les imitter, de les observer pendant des heures et des heures. Elle savait tout sur eux. Contrairement à Edward qui se voyait comme un montre, Carlisle comme un tueur, et Rosalie comme une femme stérile qui ne connaitrait jamais le bonheur d'être mère, Alice prenait bien sa nature. Elle voyait toujours le bon coté des choses, ce qui n'était pas forcément désagréable, mais parfois irritant dans certains contextes. Dans sa petite décapotable jaune canari que lui avait offert son frère pour le dernier Noêl, elle roula à toute vitesse mais avec fludité vers la source d'informations qui lui fallait, le bureau de police où travaillait le père de Bella. Alice se guara doucemment entre deux voitures discrètement puis attendit que le chef sortit. Attendre était une preuve de patience, vertue que possédait Alice tant que c'était avec modération. Au bout d'une trentaine de minutes, le Chef Swan partit avec sa voiture. Alice en profita pour sortir de sa voiture et entrait dans le bureau. Sur ce coup, elle allait devoir utiliser la beauté que lui avait donné les conditions vampirique.

    Voyant un employé au travail, elle s'avança alors avec grace puis s'approcha du comptoir avec un grand sourire angélique en commençant à parler :
    « Escusez moi, pourriez vous m'aider ? Mon nom est Alexandra Swan et je viens à peine d'arriver en ville. Je sais que ma cousine est arrivée il y a une semaine à Forks, et j'ai besoin de la voir en urgence, pour une affaire familliale, c'est sa mère qui m'envoie. Je crois avoir apprit que mon oncle est déja partit, malheureusement il me faudrait absolument le dossier administratif de Bella Swan. C'est très important. Vous serrez t-il possible de me venir en aide ... Dereck ? » . Elle venait de lire son prénom sur son badge, histoire d'avoir encore plus de chance de le séduire et d'avoir, donc, ce dossier. Elle servit son discours avec une voix chantante, accompagnée d'un sourire agréable, en regardant l'homme qui devait avoir la quarantaine, les cheveux en brousaille. Elle vit qu'il le fixait avec incrédibilité. C'était toujours pareil, lorsqu'un humain était confronté au physique d'un vampire, elle avait prit l'habitude. Elle rajouta un plus grand sourire presque suppliant pour lui donner envie de venir en aide à la jeune femme. Après que cet homme est reprit ses esprits, il demanda alors avec incrédilibilité : « Votre ... votre cousine ? » C'est sûr que la ressemblance n'était pas évidente. C'est fou à quel point les humains cherchaient toujours des ressemblances et des logiques. Alice s'y attendait. Elle refit un grand sourire : « Cousine éloignée. » Après de maintes embobinages, Dereck lui tendit le dossier avec un sourire béat. Alice le remercia chaleureusement avant de repartir. Elle jetta un regard sur son poignet pour regarder sa montre. Elle avait mit 3 minutes et 48 secondes à le faire céder. Elle aurait pu faire beaucoup mieux. Le petit lutin remonta dans sa voiture non discrète. Après le boulot, le plaisir. Et plaisir, pour elle, était l'équivalent du shooping !

    Direction donc les magasins. Elle ne mit pas beaucoup de temps à y arriver. Elle rangea son dossier dans son sac située sur le siège passager, il lui servirait plus tard, pour savoir le groupe sanguin, par exemple. Elle sortit en claquant avec élégance sa porte, mettant ses lunettes de soleil sur le nez après avoir jetté un regard au ciel. Le soleil était encore présent mais partait petit à petit. Finallement, elle aurait pu y aller, au lycée. Tant pis. C'était pas une journée en moins qui allait attirer des souspons. Elle entra dans un magasin dont les créations étaient magnifique, d'après elle. Elle retira ses lunettes de soleil avec doucement avant de les ranger dans son sac. Madame Cullen passa de sa démarche de lutin dansant à travers les rayons, observa les vêtements qui lui tappaient à l'oeil. Souvent, des jeunes vendeurs et vendeuses lui demandaient si elle voulait de l'aide, mais celle ci refusa poliment. Elle n'avait pas vraiment besoin de jeunes gens qui ne fixaient seulement son argent et qui la noieraient de compliments, surtout sur le sujet de mode. Elle continua son chemin lorsqu'elle sentit l'odeur d'un vampire venair à elle. Un vampire dans un magasin, c'était peu commun. Elle tourna sa tête vers la gauche, mais n'apperçut rien. Elle porta son regard alors devant elle et apperçut un regard familier. Stanislas. Elle n'en croyait pas ses yeux. Le sourire lui monta aux lèvres. Elle ne l'avait pas vue depuis bien longtemps, même plus que ça. lle était heureuse de le retrouver, même si c'était une surprise. La dernière fois qu'elle l'avait vu, c'était en Italie, prêt à mourrir devant les Volturi et leur égos sans mesure. Alice s'approcha alors des cabines, endroit où il se situait, en s'avançant vers lu
    i.
Revenir en haut Aller en bas
http://twilight.megabb.com/forum.htm

Stanislas L. Hoower
Stanislas L. Hoower

Masculin
Nombre de messages : 365
Age : 34
Date d'inscription : 18/01/2009

•• Are You Alive ?
•• Mode de Nutrition: Au temps jadis, Stanislas se sustentait de mets humains. Depuis qu'il est un vampire, le sang animalier est sa seule et unique nourriture.
•• Lien & Désir:
•• Dons , pouvoirs:

Toujours à la pointe de l'élégance Alice? [PV] Empty
MessageSujet: Re: Toujours à la pointe de l'élégance Alice? [PV]   Toujours à la pointe de l'élégance Alice? [PV] EmptyDim 25 Jan - 20:20

    Elle s’approcha de lui, de la plus belle des manières. Il la regardait venir. La vendeuse qui blablatait à ses côtés remarqua enfin qu’il ne s’intéressait plus à ce qu’elle disait, il ne s’en est jamais intéressé d’ailleurs. Elle décida de jeter son dévolu sur une autre pompe à fric. Il amorça quelques pas vers la nouvelle venue, toujours le sourire aux lèvres. Alors qu’ils n’étaient plus qu’à un mètre l’un de l’autre, ils se regardèrent longuement. Le silence entre les deux êtres maudits était des plus pesants. Finalement d’une voix calme, amicale, Stanislas mit fin à ce silence de mort : « Vous n’avez pas changé chère amie ! Toujours aussi ravissante ! Quelle agréable surprise ! » Il s’approcha d’elle, et dans un geste presque théâtral, il se saisit de sa main de cette beauté irréelle, et, pour ne pas trahir son rang, lui fit un baisemain.

    Après ce protocole, des rires fusèrent autour des deux compères. S’il n’avait pas renié, il y a de cela plusieurs siècle de se délecter du sang humain, il se serait jeté sur le, ou la première venue. En quoi saluer une dame – en état de grâce – de la sorte était-il risible ? Les gens aujourd’hui, ce n’était plus ce que c’était. Au fils des années, Stanislas avait vu s’effilocher les bonnes manières. Désormais ceux, qui comme lui, agissait avec galanterie et respect pour la gente féminine, étaient perçus comme venant d’un autre temps – ce qui pour Stanislas n’était pas faux – En effet, qui en voyant son visage angélique, croirait que le jeune homme est le né l’année de la Révolution Française ? Personne, sûrement, à par les personnes de son acabit.

    Lui prenant la main, il l’invita à s’asseoir, sur deux sièges. Ils s’observèrent, alors que certains clients maugréaient de les voir ainsi s’accaparer deux sièges, utiles pour les essayages. Mais après tout, n’était-ce pas ce que le vampire plus que bicentenaire était en train de faire. Ce n’était pas des haillons qu’il portait. C’était un magnifique costume, qui plus est, dans un ordre de prix supérieur à la moyenne. Il reporta son attention sur la vampiresse. Et d’un souffle, d’une voix quasiment inaudible, il demanda : « Alors que devenez-vous depuis tout ce temps Alice ? En venant ici, j’espérais vivement vous voir… Il semblerait que mon vœu soit exhaussé. » La dernière fois qu’il l’avait vu, elle lui avait sauvé la vie. En effet, en voyage en Italie, il avait été accusé par les Volturi de menacer l’équilibre entre vampires et humains, et de divulguer l’existence des sang-froid. Or, ce n’était pas lui qui se nourrissait d’humain, mais un groupe de deux vampires sanguinaires. Et si la jeune femme n’était pas intervenue, grâce à ses « visions », afin de prouver son innocence, et trouver les véritables coupables de ses actes, et bien Stanislas aurait fini en charpie, brûlé, exterminé, par cette famille millénaire. Il lui devait une fière chandelle. Grâce à elle, il était sauf. A charge de revanche. Et il termina : « Dans tout les cas, vous habitez dans une charmante région, vous et votre famille ! »

    Soudain, une voix les interpellèrent : « Mademoiselle, Monsieur, veuillez libérer ces places. Elles sont destinées à ceux et celles qui essaient les chaussures. Nous ne sommes pas dans un salon de thé ! » Instantanément Stanislas se releva, il ne préféra rien, dire. Il se dirigea vers la glace, d’où, il avait vu la vampiresse arriver, et lui demanda à vive voix : « Vous, qui me semble-t-il êtes une spécialiste de la mode, comment me trouvez-vous ? Ce costume me sied-t-il bien ? » Et il patienta, attendant son verdict.

Revenir en haut Aller en bas


Contenu sponsorisé


Toujours à la pointe de l'élégance Alice? [PV] Empty
MessageSujet: Re: Toujours à la pointe de l'élégance Alice? [PV]   Toujours à la pointe de l'élégance Alice? [PV] Empty

Revenir en haut Aller en bas
 

Toujours à la pointe de l'élégance Alice? [PV]

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
 :: •• FORKS - the dark city of your nightmare :: 
▬ Forks's Center
 :: Centre commercial
-