•• Leave out the rest » Jazz' <3

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Jasper Hale & Alice Cullen - 12h04

« Pour bien aimer un vivant, il faut l'aimer comme si il devait mourir demain. Aimer un mort équivaut à un amour infini mais aussi à un engagement constant : si tel est dit, je voudrais que tu fasse de moi ton éternelle prisonière et je jure que cela soit le plus beau cadeau de ma vie d'immortelle jour après jour »

La Reconquista en espagne ... Elle commence en février 718 et s'achève le 2 janvier 1492 quand Ferdinand II d'Aragon et Isabelle de Castille, les " Rois catholiques ", chassent le dernier souverain musulman de la péninsule, Boabdil de Grenade, achevant l'unification de l'essentiel de l'actuelle Espagne; excepté la Navarre, incorporée en 1512... Elle avait déja entendue ce paragraphe telement telement de fois. Elle serait même incapable de dire combien de fois elle l'avait lu dans sa vie. Enfin, si on pouvait apeller ça une vie. N'oublions tout de même pas que la jeune lycéene était en réalité un véritable démon de la nuit, malgré qu'elle ai l'air d'un petit ange innocent incapable de faire du mal, en apparence. Toutefois, dans cette apparence si angelique, il y avait quelques signes qui ne trompaient pas. Ses yeux noisettes-miel, sa peau aussi blanche que le marbre, la démarche dansante et la voix chantante. Rien que son apparence lui rappelait ce qu'elle était. Non pas que sa vie de vampire la dérange, pour elle c'était un fait, elle était une vampire, comme Bella qui était une humaine, comme Snaffy, le chien du directeur du lycée qui était un chien justement x). Elle était comme ça. Donc pourquoi en vouloir à sa nature ? Elle avait un optimiste démesurée, et pour la famille, ça en était pas de trop.

Elle jetta son rapide regard sur l'horloge de la salle. Le temps passait telement lentement ! Comment les humains arrivaient-ils à ne pas s'en rendre compte ? Cela faisait telement longtemps qu'elle était une créature de la nuit qui lui était totalement impossible de répondre à ça. Les cours, un chemin perpetuelle. Néanmoins, les cours ne dérangeait pas du tout Alice Cullen : elle avait l'impression que ceux-cis donnaient un certain sens à leur vie, celle des Cullens. Dans un sens, c'était un rappel à la réalité, qui les empechait de partir sur de mauvais chemins. Puis, elle n'avait jamais vraiment détesté les cours. En revanche, elle n'avait jamais eu de professeur d'histoire aussi ennuyeux ! Encore heureux qu'elle ai déja étudié ce programme une bonne dizaine de fois, dans le cas contraire, elle n'aurait peut-être pas vraiment apprécié de devoir apprendre toutes les dates avec ce Stevens. Elle poussa un très leger soupire élégant, qui n'était pas assez puissant pour être ne serait-ce que perçut par une oreille humaine. Il en fallait tout de même, pour irriter l'imperturbable Alice qui avait toujours un grand sourire jusqu'aux oreilles.

Elle entendit alors le professeur derivait. Même si elle ne l'écoutait pas directement, son oreille surdevelopée l'entendait sans le vouloir, étant attentif aux moindres bruits. Il disait vraiment n'importe quoi ! Elle ne pu s'empecher d'avoir un sourire amusé. Non seulement ce n'était pas de la bonne guerre qu'il parlait, mais en plus ce n'était pas les bons noms, il se trompait de ... Ba, seulement deux siècles x). Comment elle le savait ? Ben elle y était, à cette époque. C'est pourquoi ça lui donnait envie de rire de voir ce genre de professeur qui avait tant foi en leurs études qu'ils avaient du chercher sur internet, qui regardait ses élèves comme des sous-homme ou des parasites, parce que lui c'était le meilleur, lui c'était le grand manitou qui savait tout. En plus d'être égocentrique, raleur, et j'en passe, il était pervers en plus, comme par hasard, c'était toujours les filles qu'il envoyait au tableau ou à qui il demandait de parler à la fin du cours, vraiment pathétique. Quelques regards étaient fixé sur elle, elle avait plus que l'habitude à présent, enfaite, c'était plutôt le contraire, si les gens ne la regardaient pas bizzarement, qu'elle s'inquieterait. Les Cullens étaient toujours passé pour des êtres inacsessibles et étranges aux yeux des lycéens, ces derniers ayant peur de l'inconnu, les évitait, mais ne cessait jamais de les regarder. Tant mieux, ils ecoutaient leur instinct. Les vampires n'étaient pas toujours des perles ... Comme les nomades par exemple.

Elle jetta son regard rapide et vif sur l'horloge de la salle. 11 heures 48. Bientôt midi, et surtout, bientôt la cafétériat. C'était devenue depuis de nombreuses années son moment préféré : elle allait retrouver Jasper. Ils se voyaient tout le temps, mis à part durant les heures de cours où ils étaient séparés, dans certaines heures. Même si cette exception était minime, ça en était trop, pour Alice. Elle vit les aiguilles se déplacaient si lentement. Comment les humains ne pouvaient-ils pas se rendre compte de cette lenteur démesurée ? Enfin; la sonnerie. Aussi vite que sa couverture d'humaine aux yeux du lycée lui permettait, elle se leva avec grâce et légerité en rassemblant ses affaires et sortit de la salle de classe de sa démarche de petite lutine. Depuis qu'elle était vampire, elle avait une démarche dansante et magnifique, celon les humains. Sorte de "simptôme" qui concernait les vampires. Elle s'y était habituée et, à vrai dire, elle ne s'en était jamais vraiment rendu compte.

Elle prenait la vie avec beaucoup de légereté, oubliant tout ce que pouvait dire ou penser les gens sur elle, elle avait toujours été comme ça. Humaine, comme vampire. Malgré qu'elle ne se rapelle pas vraiment de son époque d'humaine, et c'était bien dommage. Les humains étaient si fascinants. Elle, les 90% des souvenirs qu'elle avait n'étaient pas les bons qu'elle aurait du avoir, donc forcément, être vampire comparé à la vie d'humaine qu'elle avait eu, du moins de ce qu'elle s'en rappellait, c'était toujours plus plaisant, alors, après tout, poursuoi se plaindre, me diriez vous ? Après tout, ça ne servait à rien de se torturer l'esprit à savoir ou comprendre les pensées des autres. La petite tornade brune arriva dans sa démarche près de l'entrée de la cafétériat, là où ils s'attendaient tous les jours avant d'entrer. Elle eut un petit sourire malicieux en apercevant qu'elle était la première. Le fameux petit jeu de celui qui arriverait le premier sans aller trop vite, histoire de ne pas voir les lycéens vous regardaient avec des yeux comme des soucoupes en disant « Mon dieuuuu c'est Spiderman & Cat-Woman ! » x).

Complot

- Tu as gagné aujourd'hui.

normaux

- Comment s'est passé ta matinée ?